Un nouvel âge d’Internet


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La crise actuelle qui frappe la nouvelle économie américaine et le coup de froid qu’elle ressent en Europe mettent en plein jour une évidence : Internet, comme tous les outils, n’est pas bon à tout et n’importe quoi. Il doit avoir une utilité, une fonction, faute de quoi, on s’en passe.

Les sites qui étaient fondées sur de vieilles recettes, et répondaient à des besoins déjà comblés par d’autres médias, presse magazine, presse écrite, radio ou télévision, se trouvent aujourd’hui confrontés à une régression du nombre de leurs connexions et donc de leurs recettes. Ce que l’on fait aussi bien sans Internet, pourquoi faudrait-il désormais passer par Internet pour le faire ?

En revanche, les sites qui répondent à des besoins jusque là non comblés, qui viennent remplir des vides, qui offrent des services inaccessibles autrement, ces sites voient leur fréquentation exploser : c’est le cas d’Afrik.com, qui vole en février vers l’objectif que nous nous étions fixés, d’un million de pages vues par mois, avec une croissance régulière et très élevée, qui accompagne le développement d’Internet sur le continent…

C’est ainsi que nous nous inscrivons déjà dans un nouvel âge d’Internet : celui où l’outil, répondant aux vrais besoins d’information, de communication et de formation qu’il est appelé à satisfaire, se recentrera sur les seuls marchés où il apporte réellement des contenus qui n’existaient pas jusque-là. Parmi ses marchés figure en premier rang le marché panafricain, qui est l’un de ceux qui a le plus à gagner au développement de cette technologie. Parce que militer pour l’Internet en Afrique, c’est tout simplement militer pour l’Afrique de demain.

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