Un rapport d’Amnesty International, publié mardi 11 juin, accuse l’armée soudanaise de pratiquer la politique de terre brûlée. Une stratégie mise en place pour éradiquer le SPLM-Nord, une rébellion qui prône la libération du Soudan.
Elle porte, cependant, préjudice à la population quelque peu prise en otage entre les deux parties. « L’armée bombarde de façon indiscriminée les villages de civils, n’hésitant pas ensuite à les brûler. Le but de telles manoeuvres est, selon l’ONG, de pousser la population civile à fuir ces zones », rapporte RFI.