RDC : ce qu’il faut savoir sur le lancement de la campagne de vaccination contre le Covid-19


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Le ministre de la Santé de la RDC, Eteni Longondo
Le ministre de la Santé de la RDC, Eteni Longondo

Lancement, ce 19 avril 2021 à Kinshasa, de la campagne de vaccination contre le Covid-19, en République Démocratique du Congo, par le ministre de la Santé sortant, Eteni Longondo.

Au cours de cette activité, le ministre de la Santé a encouragé les Congolais à se faire vacciner contre cette maladie qui ébranle le monde entier. « Nous invitons les personnes à se faire vacciner, car ce vaccin est efficace et montre partout ailleurs un impact positif sur la pandémie du Covid-19 (…) Se faire vacciner est plus qu’un geste personnel, c’est aussi un acte de santé, de solidarité et de charité envers les plus vulnérables », a-t-il dit.

Initialement prévu pour le 15 mars, le comite de la riposté annoncé la suspension de son lancement suite aux craintes liées aux troubles causés par ce vaccin. Le 13 avril dernier, les autorités ont annoncé à l’opinion que le vaccin Astrazeneca ne présentait aucun risque.

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« Après des études en Europe, et après d’autres études et analyses ici chez nous, par notre comité scientifique (…) nous sommes arrivés à la conclusion selon laquelle les avantages, les bénéfices du vaccin AstraZeneca sont plus nombreux que les effets secondaires signalés », avait expliqué Eteni Longondo, aux médias de la place. Ainsi, ce 19 avril, la campagne a été lancée aux cliniques universitaires de Kinshasa, en l’absence du chef de l’Etat et du Premier ministre, pourtant annoncés.

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Avec plus de 740 décès sur plus de 28 800 cas, le ministre de la Santé, Eteni Longondo a, au cours de ce lancement, annoncé que le pays fait face à une « baisse régulière du nombre de cas » du Covid-19. Pour cette première étape, la vaccination ne cible que les personnes vulnérables. « La vaccination sera volontaire et la priorité sera accordée au personnel soignant, aux personnes vulnérables souffrant des maladies chroniques et à toutes les personnes exposées à un flux important dans l’exercice de leur travail », a déclaré le ministre de l’intérieur, Gilbert Kankonde.

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