Présidence FECAFOOT : Samuel Eto’o Fils décroche le soutien de Rigobert Song 


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Samuel Eto'o, encien Lion du Cameroun
Samuel Eto'o, ancien international camerounais

La Fédération camerounaise de football (FECAFOOT) procèdera à l’élection de son nouveau président le 11 décembre prochain et l’ancien attaquant du FC Barcelone (D1 Espagne), Samuel Eto’o, est candidat. Pour Rigobert Song, ancien capitaine des Lions Indomptables, Samuel Eto’o serait la personne idéale, pour prendre les destinées du sport roi au Cameroun. L’ancien attaquant du Barça devrait faire face au président sortant, Seidou Mbombo Njoya et quatre autres candidats.

Six candidats, dont la légende du football camerounais, Samuel Eto’o Fils, sont en course pour la présidence de la Fédération camerounaise de football (FECAFOOT). Il s’agit notamment du président sortant, Seidou Mbombo Njoya, mais également de Jean Crepin Seter Nyamsi, Jules Denis Onana, Justin B. Tagou et Zacharie Wandja. À quelques jours de ces élections, Samuel Eto’o a reçu le soutien de son ancien capitaine en sélection, Rigobert Song.

« C’est plus qu’un soutien. La candidature de mon jeune frère Samuel à la présidence de la Fédération mérite qu’on lui donne sa chance, qu’on lui accorde une opportunité. Je pense qu’aujourd’hui, Samuel Eto’o est la personne idéale. Nous avons le devoir de remettre à nos jeunes frères, ce que nos aînés nous ont donné. Qui mieux que Samuel Eto’o pour le faire ? Il a cette capacité, il a vécu longtemps dans le football, il a tout appris », a déclaré Rigobert Song.

Samuel Eto’o pourrait également compter sur le soutien de la légende des Lions indomptables, Roger Milla, 69 ans. Ce dernier entretient de mauvais rapports avec Seidou Mbombo Njoya, le président sortant de la fédération, à qui il reproche notamment son interminable conflit avec la Ligue de football professionnel du Cameroun.

À rappeler que le président sortant, Seidou Mbombo Njoya, a été élu en décembre 2018. Mais, il a vu sa présidence écourtée, après son annulation par un jugement du Tribunal arbitral du sport (TAS) en janvier dernier. Ce qui explique d’ailleurs pourquoi il n’a pu aller jusqu’au terme de son mandant à la tête du football camerounais.

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