Polémique après quatre lionceaux tués dans un zoo danois


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Au Danemark, le célèbre zoo de copenhague a annoncé avoir tué quatre lionceaux par euthanisie. Une décision qui fait polémique car ce n’est pas la première fois que le zoo prend ce genre de mesures.

Quatre lionceaux du célèbre zoo de Copenhague ont été tués par euthanasie. Deux de ces lionceaux étaient âgés à peine de dix mois. C’est d’ailleurs le zoo lui même qui a fait l’annonce, arguant que deux des lionceaux étaient « trop âgés » et les deux autres « pas assez vieux pour se débrouiller seuls ». Une déclaration qui a provoqué une levée de boucliers chez les protecteurs des animaux, convaincus que ces fauves ont été tués uniquement pour faire de la place à un nouveau lion mâle en âge de se reproduire.

Ce n’est pas la première fois que le zoo de Copenhague fait polémique avec ce genre de mesures. De même, l’annonce de l’euthanasie de Marius, un girafon dont le seul tort était de n’avoir pas un patrimoine génétique très original, avait également déjà ému le monde entier. Cette fois-ci au moins, les employés du zoo n’ont pas disséqué les lions devant les visiteurs comme ils l’avaient fait pour Marius le girafon. « Tous nos animaux ne sont pas découpés », avait protesté le directeur de l’établissement. Avant d’affirmer ne rien regretter et être fier : « Le zoo est reconnu dans le monde entier pour son travail avec les lions ».

Ce qui signifie que le zoo de Copenhague n’en sera pas à son dernier scandale…

Assanatou Baldé
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Assanatou Baldé est une journaliste sénégalo-française installée à Paris, . Indépendante, elle signe régulièrement dans plusieurs médias panafricains et féminins — Afrik.com, Amina Magazine, K-World Magazine, Afrikastrategies ou encore la radio américaine AWR — traitant aussi bien d’actualité politique que de culture ou de success-stories entrepreneuriales . Engagée pour les droits humains, l’égalité femmes-hommes et les questions migratoires, elle a réalisé le documentaire « Un Paris d’exil », qui dévoile le quotidien précaire des demandeurs d’asile installés sous les ponts de la capitale française . Portée par un afro-optimisme assumé, Assanatou Baldé insiste, dans ses articles comme dans ses conférences, sur l’urgence de préparer la jeunesse africaine à l’horizon 2050 — date à laquelle le continent comptera près de 2,5 milliards d’habitants — en s’appuyant sur l’éducation, l’innovation et la mobilité internationale
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