Maroc : La presse se mêle de la réforme Constitutionnelle


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Drapeau du Maroc
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Après les acteurs de la société civile, les partis politiques et les centrales syndicales, c’est au tour des médias de dire leur mot à propos de la réforme Constitutionnelle, lit-on sur le quotidien Aujourd’hui le Maroc. Les professionnels de la presse livrent leurs visions à ce propos. Selon la Fédération Marocaine des Editeurs de Journaux (FMEJ), le Haut Conseil de la presse devra avoir pour mission d’organiser l’accès au métier et sa pratique, de veiller au cadre institutionnel et au développement économique du secteur. La FMEJ et le Syndicat national de la presse marocaine (SNPM) présentent aujourd’hui leurs propositions de réforme devant la Commission consultative de révision de la Constitution (CCRC).

Assanatou Baldé
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Assanatou Baldé est une journaliste sénégalo-française installée à Paris, . Indépendante, elle signe régulièrement dans plusieurs médias panafricains et féminins — Afrik.com, Amina Magazine, K-World Magazine, Afrikastrategies ou encore la radio américaine AWR — traitant aussi bien d’actualité politique que de culture ou de success-stories entrepreneuriales . Engagée pour les droits humains, l’égalité femmes-hommes et les questions migratoires, elle a réalisé le documentaire « Un Paris d’exil », qui dévoile le quotidien précaire des demandeurs d’asile installés sous les ponts de la capitale française . Portée par un afro-optimisme assumé, Assanatou Baldé insiste, dans ses articles comme dans ses conférences, sur l’urgence de préparer la jeunesse africaine à l’horizon 2050 — date à laquelle le continent comptera près de 2,5 milliards d’habitants — en s’appuyant sur l’éducation, l’innovation et la mobilité internationale
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