Maroc : l’un des plus grands aquarium au monde bientôt construit à Casablanca


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Le Maroc va bientôt construire l’un des plus grands aquarium au monde dans la capitale économique du pays Casablanca.

C’est un projet ambitieux qui sera bientôt mis sur pied. Le Maroc va prochainement bâtir l’un des plus grands aquariums au monde, d’une superficie de plus de 15 000m2, à Casablanca, la capitale économique. Le maire de la mégalopole Mohamed Sajid et le Khalid Safir, Wali du Grand Casablanca, ont présenté le projet mardi lors d’une cérémonie officielle, rapportent les médias locaux marocains.

Le budget prévu pour ce projet est de 250 millions de dirhams. Il sera mis en œuvre par la société Al Manar, filiale du Groupe Caisse de Dépôt et de Gestion. L’objectif de ce gigantesque aquarium, relancer le tourisme et l’attractivité de Casablanca dans la région. Cet investissement alliera aussi divertissement, éducation et recherche scientifique. Et l’aquarium sera également composé d’une grande gamme d’espèces marins.

Il faut dire que le grand aquarium de Casablanca, veut être au même niveau que ceux qu’on trouve dans les grandes mégalopoles occidentales. Après celui de Valence, il devrait arriver en deuxième position. Il est d’ailleurs le fruit d’un partenariat entre la Cité des sciences de Valence, la ville de Casablanca et la société Al Manar.

Assanatou Baldé
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Assanatou Baldé est une journaliste sénégalo-française installée à Paris, . Indépendante, elle signe régulièrement dans plusieurs médias panafricains et féminins — Afrik.com, Amina Magazine, K-World Magazine, Afrikastrategies ou encore la radio américaine AWR — traitant aussi bien d’actualité politique que de culture ou de success-stories entrepreneuriales . Engagée pour les droits humains, l’égalité femmes-hommes et les questions migratoires, elle a réalisé le documentaire « Un Paris d’exil », qui dévoile le quotidien précaire des demandeurs d’asile installés sous les ponts de la capitale française . Portée par un afro-optimisme assumé, Assanatou Baldé insiste, dans ses articles comme dans ses conférences, sur l’urgence de préparer la jeunesse africaine à l’horizon 2050 — date à laquelle le continent comptera près de 2,5 milliards d’habitants — en s’appuyant sur l’éducation, l’innovation et la mobilité internationale
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