Maroc : en prison, Ali Anouzla semble faire machine arrière


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Drapeau du Maroc
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Dans son communiqué signé par Ali Anouzla le 14 octobre 2013 de la prison Salé 2, où il est en détention préventive, en attendant son procès, le journaliste a fait comprendre, qu’en tant que directeur de publication et rédacteur en chef du média Lakome, il lui était impossible d’endosser légalement la responsabilité des écrits, injurieux pour la plupart, à l’encontre des institutions marocaines, monarchie et justice, publiés depuis son incarcération sur son site, alors qu’il est absent en prison.

Cette décision semble, selon des médias arabophones de la place, déplaire à certains des contributeurs du site, qui se veut l’opposant protégé, de la monarchie.

Ainsi, Boubker Jamii, tout aussi, journaliste dissident, auto-exilé pour la forme, en Espagne, a été déclaré, nouveau responsable des Lakome arabophone et francophone, en totale défiance, au patron du site, Ali Anouzla.

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