
François Hollande a confirmé lundi soir la mort de l’ex-otage français Philippe Verdon qui avait été enlevé depuis novembre 2011 par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi). Depuis dimanche 14 juillet, l’Elysée et le Quai d’Orsay utilisaient le conditionnel en prenant les précautions de langage pour confirmer à demi-mot cette disparition. Hélas, il faut oublier le conditionnel. Le palais présidentiel a annoncé dans un communiqué ce lundi, que la dépouille sera transférée le plus vite possible en France et les autopsies permettront de connaître les causes du décès de Philippe Verdon.