Les Nations Unies ont commencé mardi à évacuer des personnels présents au Darfour craignant pour leur sécurité, annoncent Les Echos. Cette décision intervient après que la Cour pénale internationale a accusé le président soudanais Omar El-Béchir de génocide, crimes contre l’humanité et crimes de guerre dans cette région occidentale, en guerre depuis 2003. A noter que des manifestations ont eu lieu mardi à Khartoum pour dénoncer les accusations portées contre le chef de l’Etat soudanais.