La capitale de l’Angola, ville la plus chère pour les expatriés


Lecture 1 min.
arton41561

Selon une étude du cabinet Mercer publiée ce jeudi, Luanda, la capitale de l’Angola est pour la deuxième année consécutive la ville la plus chère pour les expatriés, suivi par N’Djamena la capitale du Tchad.

Selon une étude du cabinet Mercer publiée ce jeudi, pour la deuxième année consécutive, la capitale de l’Angola, Luanda, est la ville la plus chère pour les expatriés devant la capitale du Tchad, N’Djamena. Ces deux villes sont bien en tête des villes les plus coûteuses, même si le classement reste dominé par les villes asiatiques et européennes, selon l’étude du cabinet Mercer.

Comment expliquer ce constat ? « Alors que Luanda et N’Djamena sont des villes relativement peu coûteuses, elles sont très chères pour les expatriés, puisque la plupart des biens de consommation est importée », explique Ed Hannibal chez Mercer dans un communiqué. « En outre, trouver un hébergement sûr qui réponde aux normes occidentales peut être difficile et très coûteux aussi », ajoute-t-il.

Après ces deux villes, viennent ensuite Hong-Kong et Singapour, les villes suisses de Zurich et Genève, puis Tokyo, Berne, Moscou et Shanghaï, en raison des mouvements de change et de l’inflation.
Toutefois, le Top-20 est dominé par des villes asiatiques (7 villes), européennes (6 villes), et africaines (5 villes). Les trois capitales européennes les plus chères sont Londres (12e), Copenhague (15e) et Oslo (20e). Paris est, quant à elle, la 27e ville la plus chère au monde pour les expatriés.

Assanatou Baldé
LIRE LA BIO
Assanatou Baldé est une journaliste sénégalo-française installée à Paris, . Indépendante, elle signe régulièrement dans plusieurs médias panafricains et féminins — Afrik.com, Amina Magazine, K-World Magazine, Afrikastrategies ou encore la radio américaine AWR — traitant aussi bien d’actualité politique que de culture ou de success-stories entrepreneuriales . Engagée pour les droits humains, l’égalité femmes-hommes et les questions migratoires, elle a réalisé le documentaire « Un Paris d’exil », qui dévoile le quotidien précaire des demandeurs d’asile installés sous les ponts de la capitale française . Portée par un afro-optimisme assumé, Assanatou Baldé insiste, dans ses articles comme dans ses conférences, sur l’urgence de préparer la jeunesse africaine à l’horizon 2050 — date à laquelle le continent comptera près de 2,5 milliards d’habitants — en s’appuyant sur l’éducation, l’innovation et la mobilité internationale
Linkedin
Newsletter Suivez Afrik.com sur Google News