La technique de l’insecte stérile pourrait bien éradiquer le paludisme et le chikungunya, écrit Le Monde.
Son principe est très simple : les mâles stériles ont pour mission de tromper les femelles locales, responsables de la propagation du virus.
Leur accouplement n’engendrant aucune descendance, la population disparaitrait par extinction naturelle.
Cette technique devrait être appliquée aux anophèles du Soudan et aux aèdes de La Réunion.