Aux façades blanches, bleues les persiennes, bleues les ferronneries et les tuiles vernissées comme le ciel de midi éclaboussant les maisons.
Je me rappelle avoir vu, il y a très longtemps, des lettres de Klee à Kandinsky ; elles contenaient des aquarelles d’une finesse exquise.
Quelque chose s’est perdu de Sidi Bou Saïd.
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