Journée Internationale de l’écrivain africain


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Depuis 1992, à l’initiative de l’Association Panafricaine des Ecrivains (PAWA – Panafrican Writers Association), la journée du 7 novembre est consacrée à l’écrivain Africain. Pour cette journée particulière, afrik.com vous propose de redécouvrir quelques articles sur une sélection d’écrivains africains.

Afrik.com a rencontré à Brazzaville Tima Ouamba, auteur en 2007 du roman « Terre Pourpre », qui vient de faire l’objet d’une adaptation en BD par les dessinateurs Valéry Badika Nzila alial Baik’Art, et Roy Chanel Depoeck Itoua, alias Nach. Prochaine étape : le tournage d’un film sur la trame de cette histoire émouvante et porteuse d’un message de paix et de tolérance pour le Congo. Interview exclusive.
Lire l’article complet : Congo : « Le mystère de la terre pourpre ». Interview de Tima Ouamba

Roman : Rachel Khan ou la traversée des apparences : Entre Gambie et Israël. La championne d’athlétisme française Rachel Khan, désormais comédienne sous le nom de Nina Gary, a signé en février 2016 un livre étonnant, « Les grandes et les petites choses », aux éditions Anne Carrière. Une manière élégante et pudique de raconter comment, de sa naissance à aujourd’hui, sa vie a été un dialogue entre les religions, les patrimoines, les communautés. Comment tout cela est simple, au fond, et compliqué pourtant. Lire l’article complet ici.

Alain Mabanckou : « La littérature africaine n’a pas à être cloisonnée » : Interview de l’écrivain congolais à propos de son dernier roman : « Demain j’aurai vingt ans ». Le dernier roman d’Alain Mabanckou, Demain j’aurai vingt ans, publié aux éditions Gallimard, raconte les premiers apprentissages de Michel, un petit garçon âgé d’une dizaine d’années, dans les années 1970-1980 en République populaire du Congo. Lire [l’article complet ici->].

: Il est l’un des piliers de la littérature algérienne. Kateb Yacine, instruit dans la langue du colonisateur, considérait la langue française comme le « butin de guerre » des Algériens. « L’usage de la langue française ne signifie pas qu’on soit l’agent d’une puissance étrangère, et j’écris en français pour dire aux français que je ne suis pas français », déclarait-il en 1966. Considéré comme l’un des fondateurs de la littérature maghrébine moderne en langue française, Kateb Yacine, militant anticolonialiste, a également écrit en arabe et en berbère. Il, dans son œuvre, voulu traduire l’identité et les aspirations profondes de son peuple. Lire Kateb Yacine : sa vie, son oeuvre

Alain Mabanckou : Interview de l’écrivain congolais à propos de son dernier roman : « Demain j’aurai vingt ans ». Le dernier roman d’Alain Mabanckou, Demain j’aurai vingt ans, publié aux éditions Gallimard, raconte les premiers apprentissages de Michel, un petit garçon âgé d’une dizaine d’années, dans les années 1970-1980 en République populaire du Congo. Lire l’interview, « La littérature africaine n’a pas à être cloisonnée »

Dossier spécial Albert Cossery, figure emblématique de la littérature française bien qu’il soit égyptien. L’écrivain a créé une sorte de mythe autour de sa personnalité particulière. Découverte d’Albert Cossery.

Les écrivains de la banlieue cassent les codes de la littérature : Ils font partie de la nouvelle génération, sont issus des quartiers difficiles de France et écrivent des livres. Quoi de plus normal ? Et pourtant…

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