Bantunani, le come-back


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Le chanteur congolais Bantunani
Le chanteur congolais Bantunani

« Next Generation », « Reality » et « Francofolie », tels sont les nouveaux singles de l’artiste musicien rd-congolais Bantunani, qui signe son come-back dans l’arène musicale.

C’est un retour tonitruant de Michel Nzau dit Bantunani après le succès du single « Superstar ». Celui qu’on surnomme afropolitain a lancé 3 nouveaux singles dont le titre très attendu « Next Generation » qui connaît déjà un certain frémissement radiophonique. La sortie de ces trois singles (« Next Generation », « Reality » et « Francofolie »), annonce une rupture dans la production du chanteur. Elle annonce également l’avenu de son 13ème  album solo, dont la sortie officielle est prévue le 20 mai.

Cet album de toutes les couleurs sera marqué par des rencontres entre Bantunani et quelques grands noms de la musique mondiale, entre autres TJ Routon, Rihanna, Taylor Swift, Nicki Minaj, Sam Wheat, Amy Winehouse et John Legend. « Les influences comme les sons des collaborations se font entendre, les productions sont dansantes et prenantes grâce à des mélodies portées par ma voix qui ose enfin défier les omniprésentes basses et autres percussions qui nous rappellent que la fusion bantu est aussi africaine », déclaré l’artiste.

Un groove dansant

Les deux titres « Next Generation » et « The Reality » sont teintés d’une atmosphère moderne entre électro-disco et beat West Coast avec quelques relances trap. Ils portent un message grave que le monde doit entendre. On l’aura compris dès les premières notes. « Le musicien ne peut utiliser les armes, il use du verbe et de la poésie pour défendre le rêve commun de l’humanité, celui de la liberté, d’autant plus efficace quand il est associé à un groove dansant », confie le musicien.

« Next Generation » porte aussi un émouvant regard sur l’avenir avec la participation des enfants de l’artiste (instruments, featuring et chœurs), inspirante illustration de la filiation artistique. « The Reality », quant à lui, « crie de manière souterraine et éraillée la froideur du réel. Il emprunte les accents de la dub de Kingston, le beat gangsta rap de la West Coast, le dancehall, reggae, trap croisent une pop toujours plus funky », affirme-t-il.

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