Algérie : grosse panique après un séisme à Alger


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Un séisme à Alger de magnitude 5,6 sur l’échelle de Richter a provoqué la panique, ce vendredi, dans les départements limitrophes.

Il y a eu plus de peur que de mal. Un séisme de magnitude 5,6 sur l’échelle de Richter a provoqué un début de panique, ce vendredi, à Alger et dans les départements limitrophes, faisant 20 blessés, selon un responsable. Dès le début du séisme, de nombreux habitants de la zone se sont précipités dans les rues, craignant des effondrements de bâtiments.

« Il n’y a aucun mort, mais nous avons enregistré 20 blessés légers liés au mouvement de panique, 12 à Alger et huit à Boumerdes », à l’est de la capitale, selon le colonel Farouk Achour, responsable de la communication à la protection civile, rapportent les médias algériens. Le colonel Achour a également affirmé qu’il n’y avait eu aucun dégât important lié à ce séisme, survenu à 05H11 (04H11 GMT). L’épicentre du séisme se situe en mer, à 19 km au nord-est de Bologhine, un quartier d’Alger, selon le Centre algérien de recherches en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG), qui a déjà recensé 20 répliques, dont l’une de magnitude 4,3 un quart d’heure plus tard.

Le CRAAG se veut rassurant, indiquant que ce séisme entre dans l’activité normale de la sismicité de l’Algérie qui se trouve au centre de deux plaques majeures. D’autant que l’Algérie enregistre une centaine de séismes par mois, mais la plupart ne sont pas ressentis.

Assanatou Baldé
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Assanatou Baldé est une journaliste sénégalo-française installée à Paris, . Indépendante, elle signe régulièrement dans plusieurs médias panafricains et féminins — Afrik.com, Amina Magazine, K-World Magazine, Afrikastrategies ou encore la radio américaine AWR — traitant aussi bien d’actualité politique que de culture ou de success-stories entrepreneuriales . Engagée pour les droits humains, l’égalité femmes-hommes et les questions migratoires, elle a réalisé le documentaire « Un Paris d’exil », qui dévoile le quotidien précaire des demandeurs d’asile installés sous les ponts de la capitale française . Portée par un afro-optimisme assumé, Assanatou Baldé insiste, dans ses articles comme dans ses conférences, sur l’urgence de préparer la jeunesse africaine à l’horizon 2050 — date à laquelle le continent comptera près de 2,5 milliards d’habitants — en s’appuyant sur l’éducation, l’innovation et la mobilité internationale
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