Afrique du Sud : une nouvelle espèce de homard baptisée Mandela


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Une nouvelle espèce de homard a été découverte au large des côtes sud-africaines. Elle a été baptisée Munidopsis mandelai, en hommage à Nelson Mandela.

Munidopsis mandelai est le nom scientifique de la nouvelle espèce de homard découverte au large des côtes sud-africaines. Cette appellation lui a été donnée en hommage à l’ex-Président sud-africain, Nelson Mandela. Cette nouvelle espèce avait été découverte en 2011, mais c’est seulement à l’été 2013 qu’elle a été identifiée, selon le journal sud-africain Dailymail.

Ce homard vit à 750 m de profondeur et mesure 7 mm. Une des chercheuses a expliqué au Dailymail qu’ils avaient « découvert cette nouvelle espèce par hasard, au cours de recherches plus larges sur les bois et les os engloutis sur les monts sous-marins du sud-ouest de l’océan Indien ».

D’après la chercheuse, c’est un expert des invertébrés au muséum de Londres qui a eu la tâche de l’identifier et de la nommer. Ce dernier explique que « cette espèce a été trouvée sur les grands fonds dans une région isolée au large de l’Afrique du sud et identifiée à l’été 2013. Nous avons pensé que ce serait approprié de nommer cette découverte en hommage à Nelson Mandela, un homme remarquable ».

Assanatou Baldé
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Assanatou Baldé est une journaliste sénégalo-française installée à Paris, . Indépendante, elle signe régulièrement dans plusieurs médias panafricains et féminins — Afrik.com, Amina Magazine, K-World Magazine, Afrikastrategies ou encore la radio américaine AWR — traitant aussi bien d’actualité politique que de culture ou de success-stories entrepreneuriales . Engagée pour les droits humains, l’égalité femmes-hommes et les questions migratoires, elle a réalisé le documentaire « Un Paris d’exil », qui dévoile le quotidien précaire des demandeurs d’asile installés sous les ponts de la capitale française . Portée par un afro-optimisme assumé, Assanatou Baldé insiste, dans ses articles comme dans ses conférences, sur l’urgence de préparer la jeunesse africaine à l’horizon 2050 — date à laquelle le continent comptera près de 2,5 milliards d’habitants — en s’appuyant sur l’éducation, l’innovation et la mobilité internationale
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