La mise en place du dialogue entre les différents protagonistes de la crise libyenne s’annonce difficile. L’Organisation des Nations unies tentent d’engager les discussions depuis ce mercredi à Genève, en Suisse. Mais certains acteurs de premier plan manque à l’appel, rapporte Les dépêches de Brazzaville. Deux gouvernements se font face en Libye. Celui reconnu par la communauté internationale, allié aux milices du général Haftar, qui siège à Al-Baïda, à 1 200 km à l’est de la capitale et celui situé à Tripoli, lié au groupe armé Aube de la Libye, Fajr Libya.