Le journaliste et opposant tunisien Taoufik Ben Brik a été relaxé jeudi par le tribunal correctionnel de Paris indique l’AFP. Il était soupçonné d’avoir frappé et violenté Kaouther Kouki, une femme de 30 ans au moment des faits, en mars 2004, lors d’un séjour à Paris. La jeune femme était en compagnie de Ben Brik parce que celui-ci lui avait promis une embauche à Paris, en échange d’un « petit week-end amoureux à Paris », selon la défense. La justice a considéré que les accusations envers Ben Brik n’étaient pas fondées.