Mort de Marie Dedieu : les ravisseurs cherchent à vendre sa dépouille


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Drapeau du Kenya
Drapeau du Kenya

Les ravisseurs de Marie Dedieu, la française enlevée au Kenya, dont le Quai D’orsay a annoncé mercredi le décès, « cherchent à vendre sa dépouille », a affirmé ce jeudi Gérard Longuet, le ministre de la Défense sur i-TELE. « C’est le comble de l’abjection, a-t-il dit. Mais la France ne mènera pas de représailles car les preneurs d’otage ne sont qu’une petite bande ». Marie Dedieu est le quatrième otage français à mourir en captivité en 14 mois. La française de 66 ans passait depuis quinze ans sa retraite près de Lamu, dans le nord du Kenya, lorsque dix hommes lourdement armés, soupçonnés d’être des membres des islamistes somaliens shebab, l’ont enlevée à son domicile dans la nuit du 30 septembre au 1er octobre. Le Premier ministre français François Fillon a dénoncé mercredi « un acte de cruauté, un acte de barbarie qui devra faire l’objet des sanctions les plus exemplaires ».

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