Cameroun : les professionnels du livre à Yaoundé


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Salon du livre
Salon du livre

Organisé avec le concours du ministère camerounais des Arts et de la Culture (Minac), les acteurs de l’industrie du livre (écrivains, éditeurs, lecteurs, libraires, journalistes, infographes, bibliothécaires, agents littéraires, illustrateurs et autres), se sont retrouvés au Musée national de Yaoundé, du 14 au 17 mars 2024, à l’occasion de la 2ème édition du Salon international de l’industrie du livre de Yaoundé (Siily).

Placé sous le thème : « Le livre, un héritage durable », ce grand rendez-vous littéraire, selon les organisateurs, à savoir le ministère de la Culture et l’Ong AfricAvenir International, va consolider la politique volontariste de développement du secteur du livre et de la lecture au Cameroun. Il va également donner au livre sa place dans le développement humain et sociétal. Un développement qui englobe à la fois l’acquisition de connaissances et la création de richesses. Les livres, produits de l’esprit, font également partie des produits industriels avec leurs œuvres, leurs infrastructures et leurs flux financiers.

Pendant quatre jours, près de 15 000 professionnels de l’industrie du livrel’industrie du livre camerounais et étrangers, ont mené entre autres activités : des ateliers de formation, des tables-rondes, des conférences, des expositions, des dédicaces, des remises de prix, des jeux concours…

« Je saisis l’opportunité que vous m’offrez, afin de féliciter les organisateurs de cet  évènementévènement, qui met en relief tous les acteurs de la chaîne du livre. Plus de 10 000 visiteurs, je puis dire sans risque de me tromper que les choses se sont tellement améliorées par rapport à la 1ère édition », déclare l’étudiante Catherine Kilam. « Continuez dans la même lancée, car ce secteur est un grand chantier en construction ! », a-t-elle ajouté

Signalons que AfricAvenir International Foundation est une ONG (organisation non gouvernementale) politiquement indépendante et à but non lucratif fondée au Cameroun, en 1986, qui s’engage pour l’éducation politique et la production de connaissances dans une perspective africaine. Elle s’engage pour une cohabitation de tous les êtres humains sur un pied d’égalité, libre de toute pensée, action coloniale ou raciste et des structures de domination qui en découlent.

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