« We are here » : Alicia Keys chante pour la paix


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Alicia Keys vient de révéler son nouveau titre sorti en même temps que le clip vidéo sur sa page Facebook. Elle chante pour la paix dans le monde, appelant à cesser de faire la guerre.

Dans un monde où les conflits sont de plus en plus nombreux, Alicia Keys a, elle, décidé de chanter pour la paix. La chanteuse américaine vient de révéler son nouveau titre We are Here, sorti en même temps que le clip vidéo, qu’elle a posté sur sa page Facebook. L’artiste attend un deuxième enfant, ce qui l’a d’autant poussé à prôner la paix dans le monde. Elle ne cache pas son inquiétude de voir son enfant vivre dans un monde où la guerre fait rage dans de nombreux pays.

Le clip de « We are Here » est très sobre. Il se déroule sur le toit d’une maison. En toute simplicité, la chanteuse joue du piano, chantant ce qu’on peut appeler son hymne de la paix. Elle évoque les conflit à Gaza, au Nigeria, en Irak… Sur sa page Facebook, elle explique d’où l’idée de ce titre lui est venue : « Le jour où j’ai écrit cette chanson, j’étais assise autour de personnes de tous les âges et on nous a demandé Pourquoi êtes-vous ici ? Pourquoi je suis ici ? Ça m’a profondément touché. J’ai réalisé que personne ne m’avait jamais posé cette question ».

La chanteuse a été soutenue par de nombreux internautes mais aussi des artistes tels que Madonna, Pharell Williams, qui ont posté leurs photos en étant munis d’une pancarte avec l’inscription « I am Here ». Sur Youtube, la vidéo a déjà plus de 73 000 vues. Une façon de rappeler qu’il vaut mieux faire l’amour que la guerre.

La page Facebook d’Alicia Keys

Assanatou Baldé
LIRE LA BIO
Assanatou Baldé est une journaliste sénégalo-française installée à Paris, . Indépendante, elle signe régulièrement dans plusieurs médias panafricains et féminins — Afrik.com, Amina Magazine, K-World Magazine, Afrikastrategies ou encore la radio américaine AWR — traitant aussi bien d’actualité politique que de culture ou de success-stories entrepreneuriales . Engagée pour les droits humains, l’égalité femmes-hommes et les questions migratoires, elle a réalisé le documentaire « Un Paris d’exil », qui dévoile le quotidien précaire des demandeurs d’asile installés sous les ponts de la capitale française . Portée par un afro-optimisme assumé, Assanatou Baldé insiste, dans ses articles comme dans ses conférences, sur l’urgence de préparer la jeunesse africaine à l’horizon 2050 — date à laquelle le continent comptera près de 2,5 milliards d’habitants — en s’appuyant sur l’éducation, l’innovation et la mobilité internationale
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