Glisser à la surface du monde.
Voyager, pas tant pour la connaissance ainsi acquise des contrées traversées – ce qui est illusoire puisque, pour aussi longtemps que l’on reste, on ne fait que passer – mais pour cueillir les fruits de ce temps merveilleusement vacant, une meilleure connaissance de soi.
Lire l’article : Carnet de voyage : « Les vrais paradis sont les paradis qu’on a perdus », Marcel Proust .
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