Quitter la baie de Tunis.
Aller plus au sud.
Redécouvrir ce que l’on avait oublié, la campagne, qu’un pays existe entre deux villes.
Chapeau de paille à large bord, houppelande sombre, un berger passe.
Ses moutons ont été tondus.
Derrière les Figuiers de Barbarie, partout des aloés, des oliviers, du blé.
De la route, on voit les hommes travailler aux champs.
Les moissons, ici, seront faites avant celles de Villefranche-sur-Saône.
Lire l’article : Carnet de voyage : « Les vrais paradis sont les paradis qu’on a perdus », Marcel Proust .
Copyright photo et texte : Flore/ L’Oeil de l’Esprit
Pour en savoir plus, rendez vous sur le site de Flore