Syracuse, Pondichéry, il est des lieux dont le nom seul fait voyager l’imaginaire. Carthage est de ceux là.
Tant pis si le petit train qui y mène n’est plus en bois et qu’importe ce qu’on y trouvera en arrivant ; en haut de la colline de Byrsa, pour les rêveurs, toujours, Hannibal attendra avec ses éléphants.
Lire l’article : Carnet de voyage : « Les vrais paradis sont les paradis qu’on a perdus », Marcel Proust .
Copyright photo et texte : Flore/ L’Oeil de l’Esprit
Pour en savoir plus, rendez vous sur le site de Flore