Vaccination contre le Covid-19 : une grosse supercherie ?


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Vaccin Covid-19
Vaccin Covid-19

La campagne de vaccination contre le Covid-19 actuellement en cours dans plusieurs pays pourrait cacher beaucoup de non-dits. Au point où de hauts responsables onusiens en arrivent à simuler devant les caméras leur propre vaccination.

Depuis le début de la pandémie de Covid-19, des voix se sont élevées pour dénoncer des manipulations, une théorie du complot au profit d’intérêts inavoués. Et comme le mensonge finit toujours par être rattrapé par la vérité, la presse ivoirienne a démasqué la vaccination mise en scène du Coordonnateur résident du système des Nations Unies (en poste depuis janvier 2020), Philippe Poinsot, et diffusée dans le journal de 20 heures sur RTI le 22 mars dernier.

Dans un contexte où les populations de plusieurs pays se montraient très méfiantes vis-à-vis des vaccins élaborés dans la précipitation contre le Covid-19, et où la polémique enflait particulièrement sur le vaccin AstraZeneca qui a fait l’objet de suspension dans plusieurs pays européens en raison d’importants effets secondaires soupçonnés, avant d’être à nouveau autorisé dans certains pays à la suite de l’avis émis par l’Agence Européenne des Médicaments, plusieurs autorités ont voulu donner l’exemple en se faisant vacciner.

En Côte d’Ivoire, le Coordonnateur résident du système des Nations unies, Philippe Poinsot, a décidé de se faire vacciner publiquement, devant les caméras. Mais c’était sans compter avec la vigilance des journalistes qui ont tôt fait de découvrir la supercherie. Sur koaci.com, on peut lire : « Une supercherie dans laquelle on voit l’infirmière ne pas piquer avec l’aiguille le bras du nouvellement nommé en Côte d’Ivoire (janvier 2020, ndlr) et encore moins appliquer quelconque pression sur la seringue, qui n’a pas échappé aux observateurs ».

Mieux, la vidéo révèle clairement que le bout de l’aiguille n’a même pas touché le corps de l’ambassadeur onusien protégé par un morceau de coton maintenu en place par l’infirmière.

Voilà qui vient renforcer les doutes émis de part et d’autre, d’abord sur la pandémie elle-même, sur la communication orientée psychose des populations faite autour d’elle par l’OMS et autres, et enfin sur les vaccins élaborés. De quoi inciter les populations, surtout africaines, à la vigilance.

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Historien, Journaliste, spécialiste des questions socio-politiques et économiques en Afrique subsaharienne
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