« Satan be Gone », le nouveau clip d’Asa


Lecture 1 min.
arton46484

« Satan be Gone » est le nouveau clip de la chanteuse nigériane Asa, qui n’est désormais plus à présenter.

Asa surprend de nouveau dans son nouveau clip « Satan be Gone », un titre de son dernier album « Bed of Stone », sorti en août 2014, où elle chante en Yoruba, sa langue d’origine. Dans cette vidéo tournée entièrement dans une église, la chanteuse nigériane désormais de renommée internationale, est vêtue toute de noir. Elle occupe bien l’espace en effectuant des petits pas de danse.

YouTube video

Asa a même été nominée aux Victoires de la musique en France, dans la catégorie « Album et musique du Monde ». Elle a aussi beaucoup fait parler d’elle en chantant en duo avec la diva béninoise Angélique Kidjo, dans son album Eve, où elle rend hommage aux femmes africaines et célèbre l’amitié.

Asa (prononcer Asha) c’est d’abord une voix profonde, suave, en ce sens qu’on croit entendre directement son âme. Grandi à Lagos et établie à Paris, la jeune Nigériane chante en anglais et en yoruba des compositions qui oscillent entre pop et soul inspirées d’un héritage musical qui pourrait rassembler Fela Kuti, Aretha Franklin, Angélique Kidjo, Erika Badu ou Mickael Jackson… Ses textes racontent son pays, les choses de la vie, les choses de sa vie, le tout traité avec une fausse candeur et une vraie ironie.

Assanatou Baldé
LIRE LA BIO
Assanatou Baldé est une journaliste sénégalo-française installée à Paris, . Indépendante, elle signe régulièrement dans plusieurs médias panafricains et féminins — Afrik.com, Amina Magazine, K-World Magazine, Afrikastrategies ou encore la radio américaine AWR — traitant aussi bien d’actualité politique que de culture ou de success-stories entrepreneuriales . Engagée pour les droits humains, l’égalité femmes-hommes et les questions migratoires, elle a réalisé le documentaire « Un Paris d’exil », qui dévoile le quotidien précaire des demandeurs d’asile installés sous les ponts de la capitale française . Portée par un afro-optimisme assumé, Assanatou Baldé insiste, dans ses articles comme dans ses conférences, sur l’urgence de préparer la jeunesse africaine à l’horizon 2050 — date à laquelle le continent comptera près de 2,5 milliards d’habitants — en s’appuyant sur l’éducation, l’innovation et la mobilité internationale
Linkedin
Newsletter Suivez Afrik.com sur Google News