Reportage d’Afrika Paris TV sur la soirée d’hommage à notre journaliste Mohamed Diallo


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Nos confrères d’Afrika Paris TV, la chaîne au plus près de la diaspora africaine, ont effectué un reportage sur la soirée d’hommage qu’Afrik.com a organisé vendredi 12 février pour son journaliste Mohamed Diallo tué par balles le vendredi 5 février lors d’affrontements entre militants de l’opposition, à Conakry.

Nombreux sont ceux qui ont répondu à l’invitation d’Afrik.com pour rendre hommage le temps d’une soirée à son journaliste Mohamed Diallo.

Des amis de la rédaction, des anciens journalistes et collaborateurs mais aussi des membres de la famille du défunt ont tenu à être présents. La cantatrice Nathalie Leonnof, qui n’a pas caché son émotion, a chanté durant quelques minutes. Accompagné de sa kora, Soriba Sakho a lui aussi entamé quelques chants en mandingue.

Une soirée riche en émotion, où le professionnalisme, le talent et la générosité de Mohamed Diallo ont été loués par l’un des fondateurs d’Afrik.com, Olivier Zegnarata. Ce dernier a également rappelé à tous que Mohamed Diallo a été le premier journaliste africain à avoir parlé de la mystérieuse maladie qu’allait devenir Ebola en Afrique de l’ouest.

Pour visiter le site d’Afrika Paristv

Assanatou Baldé
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Assanatou Baldé est une journaliste sénégalo-française installée à Paris, . Indépendante, elle signe régulièrement dans plusieurs médias panafricains et féminins — Afrik.com, Amina Magazine, K-World Magazine, Afrikastrategies ou encore la radio américaine AWR — traitant aussi bien d’actualité politique que de culture ou de success-stories entrepreneuriales . Engagée pour les droits humains, l’égalité femmes-hommes et les questions migratoires, elle a réalisé le documentaire « Un Paris d’exil », qui dévoile le quotidien précaire des demandeurs d’asile installés sous les ponts de la capitale française . Portée par un afro-optimisme assumé, Assanatou Baldé insiste, dans ses articles comme dans ses conférences, sur l’urgence de préparer la jeunesse africaine à l’horizon 2050 — date à laquelle le continent comptera près de 2,5 milliards d’habitants — en s’appuyant sur l’éducation, l’innovation et la mobilité internationale
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