« Nous voulons une femme comme maman… », dixit l’une des filles du général Makosso


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Le général Makosso
Le général Makosso

En date du 28 mars dernier, la femme du révérend pasteur Makosso Camille, Tatiana Kosséré, rendait l’âme suite à une crise survenue après une opération chirurgicale. La famille semble avoir dépassé le drame, car le pasteur ainsi que ses deux filles ont été invité sur Music Tv et les déclarations de ses enfants laissent entendre que l’homme est prêt à passer à autre chose.

Continuellement dragué

Si l’on en croit les propos de Bérénice et de Kimberly, les deux filles de Makosso, leur père à l’habitude de se faire draguer par ses filles spirituelles. « C’est bizarre, mais cela ne nous étonne pas parce que, quand maman était là, il y avait des femmes qui venaient draguer papa », a laissé entendre Kimberly, la fille ainée du pasteur Makosso.

Pour ainsi dire, les deux filles ne s’opposent pas à l’idée que leur père refasse sa vie, mais elles émettent d’ores et déjà des critères de choix. Pour elles, leur marâtre doit pouvoir les aimer. Il leur est impossible de concevoir qu’une femme aime leur père et ne les aime pas elles. « Maman ne nous a jamais frappé », affirme-t-elle.

Par ailleurs, selon leur conception du lien familial, alors que leur mère biologique était encore en vie, s’en prendre à l’un des membres de la famille, c’était s’en prendre à son intégralité. On peut donc comprendre que c’est ce lien qu’elles souhaitent conserver.

Les moments qui ont précédé la mort de Tatiana

Aujourd’hui, la plus petite des deux sœurs, Bérénice, culpabilise. Elle estime être à l’origine de la mort de leur mère. Pour rappel des faits, quelques heures avant la mort de Tatiana, une note vocale envoyée par elle à l’une de ses cousines avait mis le feu à la toile. L’incident avait été assez grave pour que les deux filles en arrivent aux mains.

« Ça me fait mal parce que je me dis que c’est à cause de moi qu’ils sont en train de gâter le nom de mon père et je regrette d’avoir envoyé le message à ma cousine… Je me culpabilisais ; je me disais que : si je ne m’étais pas battue avec ma grande-sœur, tout cela ne serait pas arrivé », a fait savoir Bérénice. La famille semble plus soudée que jamais et le révérend pasteur Makosso, libre comme le vent.

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