L’Algérie candidate au Conseil de sécurité de l’ONU


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Le Président algérien, Abdelmadjid Tebboune
Le Président algérien, Abdelmadjid Tebboune

L’Algérie se prépare à briguer un siège au Conseil de sécurité de l’ONU pour la période 2024-2025 en sa qualité de membre non-permanent pour la zone Afrique. Selon le quotidien algérien El Bilad, la candidature algérienne « a eu le soutien du conseil exécutif de l’Union Africaine » lors de sa session ordinaire tenue, hier jeudi, par visioconférence.

L’Algérie pourrait bientôt siéger au Conseil de sécurité de l’ONU pour la période 2024-2025 en sa qualité de membre non-permanent pour la zone Afrique. Selon le quotidien algérien El Bilad, la candidature algérienne « a eu le soutien du conseil exécutif de l’Union Africaine » lors de sa session ordinaire tenue, hier jeudi, par visioconférence.

Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que l’Algérie fait une telle annonce. En janvier 2018, son ancien ministre des Affaires étrangères Abdelkader Messahel avait révélé, dans des déclarations à la presse, la volonté de son gouvernement de présenter sa candidature au tour de table de l’instance exécutive des Nations Unies pour la période 2019-2020.

Un projet qui était destiné à pallier la perte du siège au sein du Conseil de paix et de sécurité de l’Union Africaine. Néanmoins, Alger avait finalement opté pour le retrait de la course au niveau du continent au profit de l’Afrique du Sud, dont le mandat a expiré le 31 décembre 2020.

Notons par ailleurs que l’Organisation des Nations Unies vient de réagir sur la fermeture des églises en Kabylie. En effet, l’ONU a adressé un courrier aux autorités algériennes afin d’obtenir des explications sur la fermeture des 9 églises protestantes, en septembre et en octobre 2019, à Bejaïa et Tizi Ouzou, considérée comme une atteinte à la liberté religieuse.

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