Côte d’Ivoire : à la traque des « gnambros » dans Abidjan


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La traque contre les « gnambros », ces gros bras qui rackettent les chauffeurs de taxis et de minibus, est lancée par le Préfet d’Abidjan.

En Côte d’Ivoire, près de 300 personnes ont été arrêtées par la gendarmerie, suite à une traque contre les « gnambros », ces gros bras qui rackettent les chauffeurs de taxis et de minibus, lancée par le Préfet d’Abidjan, Vincent Toh Bi.

C’est ce qu’a indiqué RFI, qui précise que c’est jeudi 5 septembre dernier que cette vaste opération contre les « gnambros » a été lancée. Limité à Yopougon, précise le journal, les autres communes ne seront pas épargnées.

Les « gnambros », littéralement « gros bras » en langue nouchi, tiennent un périmètre dans les gares ou même dans des gares improvisées. Leur rôle se limite à charger les passagers dans les véhicules de transport en commun. En contrepartie, ils encaissent une commission sur chaque passager.

Le Préfet d’Abidjan a pris ces mesures du fait l’activité des « gnambros » s’est criminalisée pour devenir un racket pur et simple, note RFI. Le quelque 200 gendarmes déployés dans les gares routières de Yopougon ont permis de procéder à l’arrestation de près de 300 personnes.

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Très attaché à l’Afrique Centrale que je suis avec une grande attention. L’Afrique Australe ne me laisse pas indifférent et j’y fais d’ailleurs quelques incursions
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