Sénégal : elle arrache une partie du pénis de son mari


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Drapeau du Sénégal
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Les faits se sont déroulés mercredi 24 juillet à Diourbel (environs 140 km de Dakar). Le sieur Sawrou Ndiaye a perdu une partie de son pénis. Ce serait le fait de sa femme, Batou Dieng, qui lui aurait sectionné une partie de son sexe. Résultat d’une bagarre entre un mari et une femme, au moment d’aller au lit. Excès de testostérone ou nervosité débordante, toutefois les faits font débat.

Une histoire qui défraie la chronique dans la capitale du Baol, plus précisément à Diourbel, à quelques encablures de Touba. Selon L’Observateur, une bagarre qui a éclaté dans un couple a conduit à la perte d’une partie du pénis par le mari. Ce dernier avait sommé la femme de venir se coucher, sous prétexte qu’il se faisait tard. Celle-ci aurait refusé d’obtempérer. Taux de testostérone trop élevé cette nuit-là ou nervosité extrême, le mari s’en est pris à la femme. Et se déclenche ainsi une bagarre. « Après la rupture du jeûne, j’ai demandé à ma femme de venir se coucher, parce qu’il commençait à se faire tard. Et elle n’a pas voulu m’obéir. Je l’ai frappée », explique Sawrou Ndiaye dans L’Observateur.

Ce qui semble curieux dans cette affaire est qu’habituellement, les gens ne se couchent pas tôt durant le mois de Ramadan. Surtout pas après la rupture du jeûne. Ce qui fait dire à certains que le mari avait un problème autre que le sommeil à résoudre. Sans compter que le sieur Sawrou Ndiaye est réputé calme et sans histoire aucune. Toujours est-il que la bagarre a éclaté entre le couple, en cette nuit de mercredi. A la guerre comme à la guerre, tous les coups étant permis, la dame Batou Dieng s’est alors défendue comme elle le pouvait. Sans arme face à un adversaire redoutable. « Finalement, elle s’est emparée de mes parties intimes avec ses dents », explique Sawrou Ndiaye qui reconnaît avoir des blessures sérieuses sur son pénis. Suffisant pour qu’il se rapproche du commissariat central de la localité, pour déposer une plainte contre sa femme.

Toutefois, certains assimilent la Batou Dieng à une tigresse, au cas où sa version tenait la route. En effet, la dame a complètement nié la morsure, arguant que ces blessures sont l’effet de ses…griffes, pardon de ses ongles. « Je ne l’ai jamais mordu sur ses parties intimes. Il a voulu me frapper et je me suis défendue. Et lorsque j’ai compris qu’il risque de me blesser, je me suis agrippé sur son pénis que j’ai tiré pour qu’il lâche prise. Encore une fois, je ne l’ai pas mordu au sexe, comme il le dit », s’est défendue la dame. Version que récuse de toutes ses forces le mari amputé. Le couple attend d’être devant le juge pour que la lumière soit faite sur cette affaire qui fait l’actualité à Diourbel.

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Journaliste pluridisciplinaire, je suis passionné de l’information en lien avec l’Afrique. D’où mon attachement à Afrik.com, premier site panafricain d’information en ligne
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