Inquiet de « la recrudescence de la violence verbale et la tension sans cesse grandissante constatée en cette deuxième semaine de campagne électorale », le Collectif des chefs religieux et intellectuels pour la promotion de la paix a appelé toute la population au calme. Faisant allusion aux candidats des élections présidentielle et législatives, il a ajouté « qu’ils ne sont pas des ennemis, que le peuple n’est pas leur otage, que leurs partisans ne sont pas des troupes de combat et que le maintien de l’ordre est du ressort de l’Etat et pas celui des milices privées », rapporte Walf Fadjri.