Un mois après le témoignage d’un général français sur l’assassinat des sept moines français de Tibéhirine en 1996, Alger a finalement réagit, dimanche, par la voix de son ministre de l’Intérieur, Yazid Zerhouni. Ce dernier a remis en cause les propos du général français. D’après M. Zerhouni, « cette affaire est franco-française », et l’Algérie n’est pas du tout concernée, rapporte El-Annabi.