De nouvelles révélations de corruption de journalistes, par un pouvoir autoritaire d’Afrique du Nord, salissent la presse française. Avant les journalistes de Libération, TF1, L’Express et Le Point qui auraient été payés par la monarchie marocaine, le régime de Ben Ali avait déjà su s’attirer, en 2011, les faveurs de patrons de presse français.
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