La sorcellerie : ceux qui tuent véritablement les Congolais


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arton27576

Il n’y a rien de si désagréable qu’une nation malpropre. Regardez le Congo. Son visage froissé et blanc, est un signe de malheur. Des véritables saletés et des cauchemars qu’il faut vivre avec. Une nation malpropre qui inspire le dégoût à tout le monde. Voyez ses ruelles, des véritables nids de production des bestioles de toutes sortes. Qui voudrait vivre au Congo avec toutes ces immondices ?

Par manque d’une bonne éducation, des canalisations, des poubelles collectives et des systèmes de recyclage, le Congolais jette les ordures où il veut, fait pipi où il veut, sur la route, au bord de la route, nous disons bien où il veut. Les sachets plastiques, les plastiques épais non organiques, c’est-à-dire non bio dégradables, les cheveux esthétiques, les ordures des ménages, qui, en plus de salir, polluent l’environnement.

Les rues, les boulevards, sont partout dégelasses. Ils ressemblent a des déchetteries ouvertes, les immondices ont dépassé les frontières, Ouf !!!, n’est-ce pas une sorcellerie ?

Les routes ou les « chaussées » sont toujours poussiéreuses, boueuses ou mouillées, surtout après la pluie. Et quand un véhicule automobile ou un cycle circule dessus, il incommode les autres usagers de la route et les riverains. La poussière monte à la folie provoquant les maladies aux hommes, femmes, et gamins qui se baladent et jouent à proximité.

Chaque quartier et chaque ruelle a sa part d’immondices. Quand il fait très chaud, la chaleur fait monter une odeur puante dans l’environnement et les Congolais sont souvent étouffés par des mauvaises haleines, et malades à vomir. L’ensemble de ces saletés sont des véritables poisons pour la vie des Congolais, rendant faible leur caractère physique et psychologique. C’est ça la sorcellerie.

Les camions de la voirie qui ramassaient les déchets de bonne heure ou bien le soir vers 18 heures au début des années 1980 ne passent plus dans les quartiers. Les populations congolaises sont vraiment au bord du gouffre.

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