Le cabinet du vice-président burundais a publié un communiqué ce dimanche 6 octobre dans lequel il rejette catégoriquement les accusations portées contre le premier vice-président de la République du Burundi, Térence Sinunguruza, par l’Union pour le Progrès National (UPRONA, son propre parti), qui réclame sa démission. L’UPRONA l’accuse d’entraver la démarche de rassemblement des militants de ce parti qui est divisé depuis des années en deux ailes. « Il s’agit d’une affirmation gratuite non étayée par aucune illustration », affirme le communiqué.